Sans entrer dans des détails techniques que la science ne m'a pas donné, je me reposerai sur les travaux des physiciens comme Ed Witten, Stephen Hawking ou encore Einstein dans sa théorie des cordes et des voyages temporels.
Jusqu’ici, la plupart des études consacrées à l’histoire des ovnis se sont concentré sur tel ou tel aspect sans soulever beaucoup d’interrogations sur les questions des méthodes, telles que la place de la religion mondiale dans l’acceptation ou le déni de ces phénomènes.
C’est à quoi je me suis attelé en épluchant les textes religieux à travers le monde et démontre que si les extraterrestres ont tendance à être timide, les textes religieux le sont beaucoup moins. Certaines personnes ont une volonté absolue de maîtrise scientifique des choses, des événements et entretiennent avec le monde de l’irrationnel des liens plus étroits qu’ils ne le croient et c’est ainsi que je ne cesse de démontrer que dans ce domaine, il n’y a pas plus de risque pur que de sécurité absolue.
Ce qu’on croit savoir et ce que l’on possède est le plus souvent biaisé.
Il est difficile – aujourd’hui – de décoder correctement au milieu du flot d’information reçues chaque jour, de saisir les règles du jeu et douter devient une nécessité même si quelquefois le doute peut conduire à des scrupules, qui paralysent la volonté.
De la responsabilité de la presse écrite, des religieux, politiques, utopie new-âge ou encore des phénomènes socio psychologiques, « Les lueurs célestes » font un tri bien utile entre croyance et religion, envie et passion car même si la recherche scientifique a des priorités relatives à la connaissance dans son ensemble, ces priorités ne sont pas entièrement neutres affectivement.
Souvent, quand je lis des articles scientifiques, ésotériques ou ufologiques, quoi que souvent pertinents, je me demande à qui j'ai affaire. D'où viennent les informations délivrées et ont-elles été vérifiées sérieusement ?
Jeune auteur, dans le sens peu connu, dans le sens également où je ne suis pas un habitué des plateaux télévisés ou encore pouvant se prévaloir de nombreux ouvrages sur l’ufologie, j'aborde la possibilité de la vie extraterrestre de façon à la fois cartésienne et curieuse nourris de nombreuses recherches et comparaisons.
Véritable passionné, je suis allé chercher toutes les invraisemblances que j'ai croisé avec les faits les plus irréfutables à travers les époques les plus reculées, le tout accompagné de témoignages solides et vérifiés.
M’appuyant sur les éditions originales de Paris Flammonde, les mythiques émissions de Long John Nebel sur la radio WOR, des anthropologues tel que Ignacio Cabria, les théories du Français Robert Charroux ou du Suisse Erich von Däniken, je tâche d'expliquer en quelques termes simple ce qu’est l’univers, ce qu’il y a au-dessus de nos têtes et comment il parait impossible dans cette immensité qu’il n’y ait pas de vie ailleurs, hors de notre système solaire.
En effet, des rumeurs circulent depuis la fin de la guerre : certains pensent que les Soviétiques auraient pu récupérer des missiles allemands et seraient en train de les perfectionner. Le jeune homme est donc quelque peu inquiet à ce sujet.
Les témoignages se multiplient
Il se trouve que les journalistes prennent son histoire suffisamment au sérieux pour en faire le sujet d'un article publié dans l'édition du lendemain. Article qui se borne à présenter uniquement les faits, sans évoquer le lien avec une éventuelle arme soviétique.
Les choses auraient donc pu s'arrêter là.
Mais voilà : partout dans le pays, avec une rapidité fulgurante, de nombreux journaux relayent cette information, affublant les mystérieux véhicules vus par Kenneth Arnold le 24 juin du nom fantaisiste de flying saucers ("soucoupes volantes").
Une publication qui ne laisse pas insensible : dans les jours qui suivent, plusieurs nouveaux témoins se manifestent dans les rédactions, déclarant eux aussi avoir observé d'étranges formes dans le ciel. La grande majorité des Américains ne prend pas ces histoires au sérieux, mais s'interroge tout de même sur la cause de ces prétendues visions énigmatiques.
Or, les rares scientifiques qui s'intéressent au sujet ne proposent que quelques explications simplistes, à base de psychologie de bas étage, d'hallucinations, de lecture trop intensive de science-fiction.
Nous savons aujourd’hui que la lune tourne autour de la terre à la vitesse de 3680 km/h environ, que la terre a une vitesse linéaire en surface de 465,1 m/s soit, 1670 km/h, que certains points lumineux que nous voyons sont des soleils qui possèdent leur propre système planétaire à ce jour inatteignable et plus globalement, que notre perception, même actuelle, de l’univers est fausse.
L’homme a découvert qu’il habitait un petit point bleu en rotation autour de son étoile, une planète de taille banale, orbitant autour d’une étoile plutôt blême que les humains ont eu même classé comme une naine jaune.
Pour calculer tout cela, toutes ces distances et planètes, étoiles que l’homme découvre, il invente une unité de mesure spéciale, celle parcourue pendant un an par une particule de lumière. 10.000 000 000 000 soit 10 milles milliards de kilomètres (9 460 730 472 580,8 km pour être parfaitement précis).
Une année lumière est donc à 1 km ce que 1 km est à la taille d’un virus et l’univers mesure 80 milliards d’années-lumière. Une seule galaxie contient entre 100 et 400 milliards d’étoiles et les galaxies elles-mêmes sont innombrables. Ça y est, vous avez le vertige ?
Vous commencez à voir les choses différemment en acceptant que nous sommes à peine une poussière.
PANIQUE AUTOUR DE LA GUERRE DES MONDES
La légende veut que la mise en scène radiophonique du célèbre roman de H. G. Wells, La Guerre des mondes, raconté sous forme d'un reportage en direct par Orson Welles, ait provoqué dans les heures qui suivirent un vaste mouvement de panique dans la population, les auditeurs croyant qu'une invasion extraterrestre se déroulait réellement dans le New Jersey.
L'ampleur de ce phénomène est toutefois contestée par certains historiens. Mais ce qui est sûr, c'est que l'événement reste l'un des mythes fondateurs illustrant la peur d'une invasion extraterrestre dans l'imaginaire collectif.
LES PREMIÈRES SOUCOUPES VOLANTES
Lors d'un trajet en avion près du mont Rainier, non loin de Seattle, aux Etats-Unis, un homme d'affaires américain, Kenneth Arnold, aperçoit neuf engins volants brillants, en forme de croissant, se déplaçant "comme des soucoupes ricochant sur l'eau".
Suite à une mauvaise retranscription de son témoignage dans la presse locale, cette vision de "soucoupes volantes" se répand comme une traînée de poudre.
Elle donnera par contagion naissance à de nombreux témoignages évoquant la vision d'objets aériens plats et circulaires dans les semaines et les années suivantes. Les soucoupes volantes étaient nées.
Les ingrédients du mythe sont posés : amplifié par les médias, un événement étrange provoque des réactions dans le pays et, contraintes de monter au créneau, les autorités officielles, notamment scientifiques, apportent des explications qui ressemblent plus à un déni…
Ce n'est pas la première fois que quelques personnes rapportent avoir observé de curieux objets dans le ciel.
Mais jusque-là, les faits sont tombés dans l'oubli au bout de quelques semaines. Les soucoupes volantes représentent à l'époque un fait divers classique, plutôt amusant, et nullement voué à rester dans les annales.
Pas cette fois : forte de certains précédents lui donnant du crédit, cette histoire va faire boule de neige, jusqu'à devenir le point de départ du mythe entourant ovnis et interventions extraterrestres, qui perdure aujourd'hui.
"Dans le courant du mois de juillet 1947, des experts de l'US Air Force prennent connaissance des articles de presse et commencent à enquêter sur le sujet", décrit Pierre Lagrange, sociologue des sciences et chercheur au Laboratoire d'anthropologie et d'histoire de l'institution de la culture (LAHIC-CNRS).
Le fait que l'armée de l'air, légalement en charge d'identifier tous les objets qui entrent dans le ciel américain, s'intéresse aux fameuses soucoupes volantes donne immédiatement du poids à ces histoires, que la population considérait jusqu'alors comme loufoques.
Petit à petit, l'armée recueille de nouveaux signalements d'objets étranges, parfois observés par des pilotes de ses rangs ou même des vétérans de la guerre.
L'hypothèse du dérangement psychologique ou de la vague d'hallucinations ne tient plus debout, et il incombe alors aux militaires de prendre ces témoignages au sérieux.
En décembre 1947, l'US Air Force crée donc le projet Sign, dont le but est d'enquêter de manière scientifique sur les ovnis, en trouvant des explications aux témoignages recueillis.
L'une des premières affaires traitées par ce projet, connue sous le nom d'incident de Mantell, a été largement médiatisée.
Suite à plusieurs dysfonctionnements internes, le projet Sign sera dissous à la fin de l'année 1948. Il est remplacé par le projet Grudge, puis en 1953 par le Blue Book, qui restera actif jusqu'en 1969.
Dès l'Antiquité, des textes évoquent la "pluralité des mondes".
C'est dire si les extraterrestres sont vieux, presque autant que nous A la fin du XIXe siècle, quand l'observation de la planète rouge fait croire à l'existence de Martiens, l'hypothèse E. T. se renforce. Elle va enflammer tout le XXe siècle, pour le meilleur et surtout pour le pire. Car entre ovnis et autres soucoupes volantes, de Roswell aux crop circles, c'est peu dire que les canulars ont alimenté le mythe.
Retour sur un siècle qui a voulu croire aux petits hommes verts.
Les premiers témoignages à diffusion mondiale
Tout commence le 25 juin 1947, dans les bureaux du quotidien régional East Oregonian de Pendleton, petite ville de l'Etat de l'Oregon, aux Etats-Unis. Il est encore tôt le matin quand un visiteur frappe vigoureusement à la porte. Il s'agit d'un homme d'affaires d'une trentaine d'années, dénommé Kenneth Arnold, qui souhaite s'entretenir avec un journaliste.
Le jeune homme a une étrange histoire à raconter.
La veille, alors qu'il effectuait un vol à bord de son avion personnel près du mont Rainier, dans l'Etat de Washington, Kenneth Arnold a aperçu neuf étranges objets en mouvement dans le ciel.
Leur forme, dit-il, ne ressemblait à rien de connu : ils étaient plats, arrondis à l'avant et triangulaires à l'arrière. Il ajoute que les objets se déplaçaient à une vitesse impressionnante ; environ deux fois celle du son, selon ses estimations.
Il y a plus de 70 ans, l'affaire Roswell lance la vogue des ovnis
Le 25 juin 1947, des "soucoupes volantes" s'écrasent aux Nouveau-Mexique. La frénésie gagne l'Amérique et le monde, qui se met à croire aux ovnis et aux extraterrestres.
Cette affaire ne sera définitivement élucidée que 50 ans plus tard.
Kenneth Arnold n'en croit pas ses yeux lorsque, ce 25 juin 1947, il aperçoit neuf objets brillants en forme de soucoupe volant à grande vitesse au-dessus du mont Rainier, au nord-ouest des Etats-Unis. Il les chronomètre à près de 1 200 miles/heure (presque 2 000 km/h).
Dans les jours qui suivent, les journaux publient des témoignages, toujours plus nombreux, de disques volants aperçus aux quatre coins de l'Amérique. Les journalistes interrogent les scientifiques, déterrent les projets de prototypes volants de l'armée.
Mais rien de connu ne ressemble à ces soucoupes.
(L'interview complète de Kenneth dans mon livre " Les lueurs célestes")
LE DOSSIER ROSWELL
Des débris étranges sont retrouvés près de la base militaire de l'US Air Force de Roswell, au Nouveau-Mexique. Leur analyse aboutit à la thèse de la chute d'un ballon météorologique.
Mais en 1980, l'affaire rebondit avec la publication d'un livre, The Roswell Incident, qui pointe une volonté gouvernementale de cacher ce qui s'est réellement passé.
L'opus ouvre la voie à la théorie du complot et à toutes sortes d'hypothèses plus ou moins fantaisistes sur la nature des débris retrouvés, qui seraient issus d'une soucoupe volante…
Dans les années 1990, nouveau rebondissement : le film d'une prétendue autopsie d'un alien de Roswell, réalisée et dissimulée par les militaires, fait surface, et est vendu à une dizaine de pays (dont la France, avec TF1).
Ce n'est qu'en 2005 que le propriétaire du film, l'Anglais Ray Santilli, finira par avouer qu'il s'agissait d'un canular, réalisé avec l'aide d'un sculpteur spécialiste des effets spéciaux.
Le 8 juillet, un communiqué explosif est envoyé par la base aérienne de Roswell, dans le Nouveau-Mexique : l'armée aurait récupéré les restes de l'un de ces vaisseaux !
Un fermier a trouvé dans son ranch, à proximité de la base, d'énigmatiques débris faits d'adhésif couvert de motifs étranges, de papier aluminium, papier kraft et baguettes...
Il n'y a pas prêté attention, jusqu'à ce qu'il entende parler des disques volants. Il s'est alors confié au shérif, qui a prévenu la base.
Les débris sont expédiés vers la base militaire de Fort Worth, au Texas. Laquelle diffuse, ce même jour, un nouveau communiqué : la "soucoupe volante" n'est qu'un banal ballon-sonde météo...
L' incident est oublié mais des témoins continuent, durant des années, d'apercevoir des soucoupes dans toute l'Amérique.
Les Ovnis sont de formes et de tailles différentes
Déstabilisée, l'US Air Force lance le programme d'étude Sign, pour analyser les témoignages et éviter toute panique. Le 27 avril 1949, un premier rapport l'atteste : hormis quelques cas de canulars, la plupart des témoins semblent avoir été abusés par des phénomènes astronomiques ou météorologiques inhabituels. En 1969, l'Air force abandonne officiellement toute enquête sur les ovnis qui, affirme-t-elle, ne présentent ni intérêt scientifique ni menace pour la sécurité des Etats-Unis.
Cette thèse fait des sceptiques, dont le journaliste Donald Keyhoe, le journaliste-écrivain Franck Scully, selon lesquels les soucoupes volantes sont des engins extraterrestres sur lesquels les militaires gardent le secret.
En 1980, l'expert en ovnis William Moore publie un premier ouvrage sur "l'incident de Roswell", détaillant le complot qui se trame selon lui.
...MAIS CULTIVE LE SECRET
L'analyse de véritables documents déclassifiés permettra, au début des années 1990, d'affirmer qu'il s'est bien passé quelque chose de secret à Roswell.
Mais les amateurs d'ovnis en seront pour leurs frais. L'armée de l'air avait en effet lancé en 1947 un projet "top secret", codé Mogul : des ballons sondes équipés de capteurs destinés à capter, dans l'atmosphère, des explosions de bombes ou des lancements de fusées sur toute la planète, notamment en URSS.
Dotés de multiples cibles radar, ces ballons sont pour partie fournis par un fabricant de jouets (d'où les motifs sur les adhésifs).
Lancés par des militaires ignorant tout de leur fonction, ils se sont écrasés près de Roswell, où ils ont été récupérés par d'autres militaires aussi peu au courant.
Le 8 septembre 1994, l'Air Force confirme que l'armée a tenté de dissimuler le projet Mogul en évoquant des ballons météo.
LE FILM CANULAR DE L'AUTOPSIE D'UN EXTRATERRESTRE
Fin de l'histoire ? Non, car moins d'un an après, une nouvelle rumeur circule : l'autopsie d'un extraterrestre, prétendument réalisée en 1947 sur la base de Roswell, aurait été filmée. Un producteur aurait racheté des bobines oubliées afin d'en revendre les droits de diffusion à des chaînes de télévision, dont TF1 en France.
Vraie autopsie ou canular ?
Les éléments en faveur du second s'accumulent vite, ainsi que le rapporte Science & Vie. L'affaire paraît entendue pourtant, soixante-dix ans plus tard, des sceptiques continuent de croire que quelque chose d'inavoué s'est produit, durant l'été 1947, à proximité de la base de Roswell.
Lorsque le livre qui est à l’origine de ce qu’on appelle aujourd’hui « l’affaire de Roswell » sort en 1980, tout le monde a oublié qu’il s’était passé quelque chose. C’est ainsi que parmi tant d’autres cas, la socio-psychologie fut très pratique dans l’Incident de Roswell.
L'AFFAIRE MANTELL
Un objet rond et brillant d'apparence métallique est signalé par de nombreuses personnes dans le ciel de Madisonville, dans le Kentucky.
Envoyée observer l'objet, une patrouille militaire de trois Mustangs F-51 peine à poursuivre la cible volant à haute altitude (plus de 6 000 mètres). Deux appareils abandonnent la chasse, tandis que le troisième, piloté par un jeune vétéran, le capitaine Thomas Mantell, poursuit sa course, perdant rapidement le contact radio avec le sol. Il sera retrouvé un peu plus tard, écrasé dans un champ.
L'enquête aboutira à une perte de contrôle du pilote suite à un manque d'oxygène lors de la poursuite de ce qui aurait été un ballon Skyhook d'étude de l'atmosphère gonflé à l'hélium.
Lancé un peu plus tôt par la Navy, le ballon aurait été emporté par des courants rapides en haute altitude. Mais dans la presse, la version d'un avion abattu par un vaisseau extraterrestre ne tarde pas à apparaître et fait florès, donnant naissance à une nouvelle vague de témoignages du même type.
Longtemps ce mannequin en latex a fait douter tout le monde
Ils représentent sans doute la partie la plus controversée de mes recherches et de l’existence ou non de ces entités. L’être humain ne projette-t-il pas ici ses craintes, est-ce qu’on ne leur attribue pas des intentions qu’ils n’ont pas, comme nous le faisons avec les animaux ?
Le premier témoignage d'enlèvement d'humains ("abduction", dans le jargon ufologique) dans un ovni par des extraterrestres est rapporté par un couple d'Américains, Betty et Barney Hill, lors d'un voyage en voiture près de Lancaster (New Hampshire).
D'abord seulement conscients d'avoir vu un étrange objet volant non-identifié semblant s'approcher de leur voiture, ils constatent à leur arrivée un "trou" de deux heures dans leur voyage. Ils ne se remémoreront qu'ensuite, grâce à l'hypnose, avoir été enlevés par de petits hommes gris.
Recueillies séparément, leurs déclarations n'ont jamais dévié et ne comportent aucune contradiction… Un autre témoignage célèbre, celui de l'écrivain Whitley Strieber, publié en 1987 dans son livre Communion, entraînera dans les années qui suivirent une avalanche de récits d'abductions aux Etats-Unis.
Nous pouvons citer le bûcheron Travis Walton disparut entre les 5 et 10 novembre 1975 ou Georges Adamski . Qui croire ? D’un côté, on voit ce que l’on croit savoir, et de l’autre on ne voit pas une bonne partie de la réalité qui se trouve pourtant devant nos yeux, mais pour laquelle il n’y a pas de place dans notre vision du monde.
De nombreux témoignages d'enlèvements ont été recensés à travers le monde.
Toutefois, on peut comprendre la prudence des porte-parole du NICAP (Comité national d’enquête sur les phénomènes Aériens) car ces récits d’atterrissages et d’enlèvements vont être à l’origine d’un intense débat parmi les spécialistes des ovnis sur la façon dont il faut appréhender et interpréter l’ensemble du dossier. (..)
A partir du moment où les ufologues « mainstream » commencent à accepter l’idée qu’un engin extraterrestre a pu atterrir ou s’écraser et être récupéré par l’armée, donc que le gouvernement connaît la vérité etc, à partir de ce moment-là la frontière qui séparait les ufologues désireux de se baser uniquement sur des faits et les amateurs d’ovnis qui acceptent toutes sortes de rumeurs sur l’existence de Men in Black, de complots, de bases souterraines, cette frontière donc s’estompe.
Si l’on ajoute les « abductions », les enlèvements de nos semblables par ces entités, alors l’extraterrestre prend une toute autre dimension dans la conscience collective.
Au-delà des témoins directs de survols d’ovnis, des milliers de personnes dans le monde disent avoir été enlevées par ces intelligences. Leurs récits saisissants nous permettent d’élargir notre champ de compréhension du phénomène.
Si l’image précède toujours la perception, elle a toujours un temps d’avance. Elle est dans un mouvement de fugue permanent de la perception. Face à elle, le sujet croit, plus qu’il ne voit, et c’est en ce sens qu’il faut être prudent.
LA THÉORIE DES ANCIENS ASTRONAUTES
Dans leurs ouvrages respectifs, les écrivains Robert Charroux, Jean Sendy et Erich von Däniken remettent la théorie des anciens astronautes au goût du jour.
Selon celle-ci, certains vestiges anciens monumentaux, tels que les géoglyphes de Nazca, les statues de l'Ile de Pâques, les mégalithes de Stonehenge ou encore les pyramides égyptiennes, n'ont pu être construits par nos ancêtres qu'avec l'aide de visiteurs extra terrestres, venus leur apporter leur savoir technologique.
Lesquels auraient parfois été divinisés ou pris pour des anges par les populations d'alors, donnant naissance à des récits mythologiques. Ce mouvement est aussi appelé néo-évhémérisme ou astro-archéologie, en opposition à l'archéologie traditionnelle.
Ajoutons à cela le SETI, Raël et le signal "Waou" et nous avons fait un tour presque exhaustif de l'histoire ufologique. Je dis presque car je développe tous ces thèmes dans mon livre " Les lueurs célestes".
l y a de très nombreux témoignages concernant les ovnis, leurs formes et tous parlent de lumières vivent, d'une propulsion inconnue et aucun son. Mais malheureusement, les pilotes sont soumis à de nombreux tests médicaux et psychologiques et n’acceptent la plupart du temps d’en parler que lorsqu’ils sont à la retraite.
En mars 1997, une formation lumineuse survole la ville de Phoenix (Arizona), L’acteur Kurt Russell a déclaré avoir été le pilote qui avait signalé l’ovni en premier alors qu’il allait atterrir avec son fils à l’aéroport de Phoenix.
Le capitaine Thomas F. Mantell, 25 ans, pilote de la Garde nationale de l’air du Kentucky, meurt dans l’écrasement de son avion de chasse P-51 Mustang près de Franklin, après avoir été envoyé à la poursuite de cet objet volant non identifié. L’événement a été un incident des plus médiatisés.
Le 23 septembre 1975, il vole sur un Dassault Mirage 3-C.
quand soudain, il voit passer entre lui et l’autre Mirage un
«truc» très lumineux de forme allongée comme un ballon de rugby avec de gros hublots bien éclairés de
l’intérieur.
Regardez l'interview BTLV de l'auteur pour son livre Les lueurs célèstes.
Un ajout ? Une modification ?
C'est toujours bienvenu !
Nous avons besoin de votre consentement pour charger les traductions
Nous utilisons un service tiers pour traduire le contenu du site web qui peut collecter des données sur votre activité. Veuillez consulter les détails dans la politique de confidentialité et accepter le service pour voir les traductions.